Hell’s Paradise Manga amène The Suicide Squad dans l’ancien Japon

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Le manga Hell’s Paradise: Jigokuraku prend la prémisse de la Suicide Squad de DC et la place dans l’ancien Japon, échangeant des explosifs contre des assassins.

Le manga l’enfer Paradis : Jigokuraku demande quel est le DC Escouade Suicide ressemblerait à si Amanda Waller était un shogunat pendant la période Edo au Japon et cherchait l’élixir de vie. La réponse est un groupe de condamnés à mort qui sont suivis par un clan spécialisé dans les exécutions lors de missions où les rares qui reviennent reviennent déformés. Cette même question sera bientôt répondue au format anime comme une adaptation en série a déjà été annoncé.

Dans DC Comics, Amanda Waller contrôle les membres de Suicide Squad avec un poing mortel et impitoyable. Elle ne se soucie pas de leur bien-être car elle ne les considère que comme de simples méchants qu’ils sont, dont le seul but est de terminer les missions que personne d’autre n’ose tenter. Waller se soucie si peu d’eux en fait qu’elle implante dans leur cou des engins explosifs qu’elle fera et a fait exploser sans hésitation si ses pions avaient l’audace de doubler ou de ne pas suivre ses instructions avec précision. Cette méthodologie moralement discutable s’est avérée très efficace pour forcer les autres à réaliser ses souhaits.

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Malheureusement pour les dirigeants sans conscience pendant la période Edo, la science est loin de développer des engins explosifs, encore moins ceux qui sont suffisamment petits pour être insérés dans le cou des victimes. Donc pour le Shogunat de Le paradis de l’enfer, il doit improviser s’il veut forcer les criminels à faire ce qu’il veut et s’assurer qu’ils terminent correctement leurs tâches. Comme toutes les règles cruelles et tyranniques, le shogunat s’efforce de vivre éternellement. Ainsi, lorsque l’humanité tombe sur un paradis luxuriant et paradisiaque connu sous le nom de Shinsenkyo, l’autre monde de ce royaume est si profond que le shogunat conclut que, si un élixir de vie exister, ce serait dans un endroit comme Shinsenkyo. Mais bien que beau, Shinsenkyo s’avère être assez mortel. Peu d’hommes qui s’y aventurent y reviennent et ceux qui y reviennent déformés par une étrange maladie qui fait jaillir des fleurs sur tout leur corps.

Dans un ultime effort, le shogunat oblige les hommes les plus impitoyables du couloir de la mort à acquérir son élixir tant convoité. Celui qui récupère l’élixir verra ses dossiers radiés et ses crimes graciés. Ceux qui refusent sont immédiatement décapités. Pour s’assurer qu’ils donnent suite, il associe chaque condamné à un membre de la famille Asaemon, un clan spécialisé dans les exécutions et les tuera s’ils s’écartent du plan. Bien que similaire à Waller’s Suicide Squad, le shogunat s’avère beaucoup plus impitoyable. Il décide que la meilleure façon d’identifier les guerriers les plus capables est qu’ils se battent jusqu’à la mort et permet aux survivants de s’entretuer au cours de la mission elle-même plus tard.

Bien qu’il s’agisse d’une intrigue convaincante en soi, les véritables éléments remarquables de l’enfer Paradis : Jigokuraku sont les caractéristiques des protagonistes de la série : le condamné Ninja Gabimaru the Hollow et son bourreau assigné, Yamada Asaemon Sagiri. Gabimaru est un homme qui lutte avec son identité de tueur sans émotion et impitoyable, s’efforçant de s’assurer qu’il le reste et qu’il soit perçu comme tel. Il a ardemment besoin de se prouver qu’il est et a toujours été creux et incapable d’aimer, au point de détruire tous les restes de bonheur de sa vie et de se mettre en danger s’il le faut. Pendant ce temps, l’histoire de Yamada explore la moralité de sa profession grotesque et l’efficacité de son métier alors qu’elle tente à la fois de maîtriser un métier aussi éprouvant pour les nerfs et compare sa méthodologie de mise à mort à celle de Gabimaru. Ses comparaisons sont même représentées artistiquement dans un sens métaphysique par la façon dont les cadavres s’accrochent à chacun de leurs corps dans l’esprit de Yamada. Tout le monde profite d’un bon Escouade Suicide adaptation, en particulier une aussi créative que celle-ci. Mais ce sont les personnages uniques qui font que cette série vaut la peine d’être lue.

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