Un Français qui a assassiné quatre membres de sa famille pour « l’or nazi » écope de 30 ans

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Un Français qui a assassiné quatre membres de sa famille et démembré leurs corps parce qu’il pensait qu’ils accumulaient de l’or caché aux nazis a été emprisonné pendant 30 ans.

Hubert Caouissin avait reconnu avoir tué son beau-frère Pascal Troadec, 49 ans, l’épouse de Troadec, Brigitte, 49 ans, et les deux enfants du couple Sébastien, 21 ans, et Charlotte, 18 ans, en février 2017.

Caouissin, 50 ans, était convaincu que la famille était assise sur un héritage présumé de lingots et de pièces d’or et trompait sa femme Lydie – la sœur de Troadec – de ce qu’il croyait être sa juste part. Le tribunal l’a entendu décrire comme un homme «ordinaire» qui était devenu obsédé par le trésor, il n’y a jamais eu de preuve.

Il avait espionné la famille à leur domicile à Orvault, près de Nantes dans l’ouest de la France, et avait essayé d’écouter leurs conversations à l’aide d’un stéthoscope contre une fenêtre. Lorsqu’il a été dérangé, il a battu à mort Pascal Troadec puis a tué les trois autres membres de la famille. Sébastien et Charlotte ont été assassinés alors qu’ils dormaient.

Caouissin a ensuite enlevé les corps, qu’il a démembrés, puis les a soit brûlés, soit enterrés. La police a ensuite retrouvé 379 parties du corps autour de la ferme de Caouissin dans une partie reculée de la Bretagne.

Lydie Caouissin, 52 ans, a été condamnée à trois ans, dont un avec sursis, pour avoir aidé son mari à se débarrasser des cadavres.

Le verdict est tombé tard mercredi après que le jury du tribunal de Nantes a délibéré pendant sept heures après un procès de 16 jours. Caouissin avait avoué les quatre meurtres mais a déclaré qu’il s’agissait d’un « accident ». Il a nié que ses actions avaient été préméditées.

Les relations entre Caouissin et son beau-frère étaient amères depuis des années. Caouissin était convaincu que les Troadecs cachaient de l’or qui aurait été découvert par le père constructeur de Lydie et Pascal en 2006 dans le sous-sol d’un immeuble sur lequel il travaillait à Brest. L’or aurait fait partie d’un transport de 50 kg que la Banque de France a caché aux Allemands pendant l’Occupation.

Aucune trace de l’or présumé qui a provoqué les meurtres n’a été trouvée.

Un psychiatre avait déclaré que Caouissin souffrait d’un cas classique de « folie paranoïaque ».

La procureure générale Charlotte Gazzera a déclaré au tribunal : « M. Caouissin a causé la mort de quatre personnes dans un terrible bain de sang… il est trop dangereux. Il ne fait aucun doute qu’il devrait être libéré.

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