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Les véhicules électriques s’imposent de plus en plus dans le courant dominant. Selon une nouvelle enquête menée par EY, 41 % des consommateurs qui envisagent d’acheter une voiture déclarent que leur prochain véhicule sera un plug-in. Et ils prennent principalement cette décision en raison de l’impact environnemental.
EY a interrogé 9 000 consommateurs dans 13 pays (Australie, Canada, Chine, Allemagne, Inde, Italie, Japon, Nouvelle-Zélande, Singapour, Corée du Sud, Suède, Royaume-Uni et États-Unis) en juin de cette année dans le cadre de son enquête Mobility Consumer Indice. La dernière fois que l’entreprise a mené cette enquête, en septembre 2020, seulement 30% ont déclaré que leur prochaine voiture serait soit un VE à batterie, soit un VE hybride rechargeable.
Où les BEV battent-ils l’ICE ?
L’adoption des VE progresse plus rapidement dans certains endroits que dans d’autres. En Chine, par exemple, 48% disent que leur prochaine voiture sera un VE, et seulement 43% disent qu’elle aura un moteur à combustion interne (avec 3% à la recherche d’un VE à pile à combustible à hydrogène et les 5% restants disant qu’ils ne sont pas sûrs) . Les chiffres de la Suède sont presque identiques, avec un équivalent de 48% voulant un VE.
En Corée du Sud, 51 % indiquent qu’un VE sera leur prochain véhicule. À Singapour, 53 % veulent un véhicule électrique, et en Italie, 63 % ont déclaré que leur prochain véhicule serait un plug-in.
Mais dans les autres pays interrogés par EY, le moteur à combustion interne reste le choix le plus populaire. En Australie, seulement 17 % achèteraient un véhicule électrique, contre 75 % des Australiens qui veulent une autre voiture à combustion de carbone. Il y a peu de similitudes entre le marché automobile américain et celui de l’Inde, mais dans les deux cas, seulement 28 % des consommateurs déclarent vouloir un prochain véhicule électrique. En Nouvelle-Zélande, 30% ont indiqué qu’un VE était dans les cartes. Au Canada, 35 pour cent ont dit la même chose, et en Allemagne, 38 pour cent prévoient de passer à l’électricité. Au Royaume-Uni, 40 % veulent un plug-in et au Japon, 42 % le souhaitent.
Dans chaque pays, l’environnement était la principale raison de vouloir électrifier, et la principale préoccupation était le coût de possession, pas l’infrastructure de recharge. La bonne nouvelle est qu’à maintes reprises, les recherches montrent que les véhicules électriques sont moins chers à entretenir et ont un coût total de possession inférieur à celui des véhicules à essence ou diesel.
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