Cette vidéo donne une comparaison effrayante de la taille des trous noirs cachés dans notre univers

[ad_1]

Bref c’est le dernier En un mot la vidéo nous emmène une fois de plus dans les profondeurs de l’espace pour regarder les phénomènes effrayants que sont les trous noirs.

Plutôt que d’aborder des sujets comme la matière noire et la formation des trous noirs, cette vidéo épate les téléspectateurs en leur donnant une comparaison de la taille des différents trous noirs qui existent dans l’univers. Des plus petits trous noirs primordiaux aux plus familiers de la taille stellaire, en passant par les terrifiants ultramassifs. La vidéo commence par expliquer que le plus petit trou noir stellaire connu a une masse de 2,7 fois notre soleil mais a à peu près le même diamètre que la ville de Paris. Des faits plus intéressants sont expliqués comme la façon dont le trou noir le plus proche, nommé « Licorne », n’a que 17,2 km de diamètre mais est capable de projeter V723 Mon, une étoile 42 fois la taille de notre soleil.

L’un des mystères fait surface alors que la vidéo révèle qu’après 150 masses solaires, il n’y a rien qui grossit progressivement, ce qui est contradictoire car beaucoup pensent que les trous noirs continuent de se développer. Il passe essentiellement de 150 masses solaires à quelque chose de milliers de fois plus dense. Il est théorisé que cela est le résultat de la formation de quasi-étoiles par l’univers primitif – des étoiles avec une masse telle qu’elles ont pu alimenter les trous noirs pendant des millions d’années – cela tombe dans la catégorie des trous noirs supermassifs. Les scientifiques ont en fait pu photographier l’un de ces trous noirs supermassifs dans l’image épique de M87. C’est effrayant de penser, mais ce trou noir est plus grand que l’ensemble de notre système solaire.

Ce n’est que la pointe de l’iceberg, cependant, car les téléspectateurs devront regarder jusqu’à la fin pour découvrir la masse surprenante dans ce qu’on appelle un trou noir ultramassif.

Dans d’autres nouvelles technologiques, SpaceX installe 29 moteurs sur un énorme booster Super Heavy pour le premier vol d’essai orbital de Starship.


[ad_2]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*