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Les contrats à terme sur le pétrole brut ont augmenté vendredi matin, mais étaient en passe d’enregistrer la plus forte baisse hebdomadaire en plus de quatre mois, au milieu de la propagation de la variante delta de COVID-19 et de son impact potentiel sur la demande d’énergie.
Brut West Texas Intermediate pour livraison en septembre CLU21,
CL00,
s’échangeait à 92 cents, ou 1,3%, à 70,02 $ le baril, en bonne voie pour un gain consécutif après que la teneur de référence américaine a grimpé de 1,4% jeudi.
Pour la semaine, le WTI est en baisse de 5,3%, tandis que le Brent est en baisse de 4,3% jusqu’à présent, ce qui représenterait les deux contrats les plus fortes baisses hebdomadaires depuis la période terminée le 19 mars, selon les données de FactSet.
La chute du brut au cours de la semaine est survenue alors que la variante delta a entraîné de nouvelles restrictions de mobilité. Le Japon et la Chine ont tous deux rétabli des mesures de verrouillage dans certaines régions pour limiter la propagation de la variante hautement transmissible.
Octobre Brent brut BRNV21,
l’indice de référence mondial, était de 91 cents, ou 1,3%, en hausse à 72,20 $ le baril sur ICE Futures Europe, après avoir grimpé de 1,3% lors de la session précédente.
Les investisseurs surveilleront également de près un rapport mensuel sur l’emploi aux États-Unis comme indicateur de l’appétit pour le brut de la plus grande économie du monde.
Les États-Unis ont probablement créé environ 845 000 nouveaux emplois en juillet, selon une enquête du Wall Street Journal auprès d’économistes, avec des chiffres inférieurs à ce niveau, susceptibles d’atténuer les perspectives de demande de brut, selon les stratèges.
Vendredi, cependant, le brut a enregistré des gains en raison d’un conflit émergent au Moyen-Orient, qui pourrait finalement empiéter sur les approvisionnements s’il s’aggravait. Reuters a signalé des tensions croissantes entre Israël et le Liban, alors que des jets israéliens ont frappé des sites libanais cette semaine.
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