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Allyson Felix a remporté samedi sa 11e médaille olympique en carrière, en s’associant à ses coéquipières américaines pour terminer le relais 4x400m en 3 minutes, 16,85 secondes pour une victoire fulgurante.
L’équipe de Felix, Sydney McLaughlin, Dalilah Muhammad et Athing Mu n’a jamais risqué de manquer l’or. La Pologne a terminé deuxième, 3,68 secondes derrière, et la Jamaïque a terminé troisième.
Felix, qui est devenue la femme la plus décorée de l’histoire de l’athlétisme olympique lorsqu’elle a remporté le bronze au 400 m vendredi soir à Tokyo, dépasse désormais Carl Lewis avec le plus de médailles d’athlétisme de tous les athlètes américains. Sur ses 11 médailles, sept sont en or. Paavo Nurmi de Finlande détient la marque de tous les temps avec 12 médailles de 1920 à 28.
La victoire est survenue le jour du 22e anniversaire de McLaughlin et lui a donné une autre médaille d’or pour accompagner celle qu’elle a remportée lorsqu’elle a établi un record du monde (51,46 secondes) au 400 m haies plus tôt dans la semaine.
Felix a parlé franchement de la lutte pour revenir d’une grossesse difficile qui a conduit à une césarienne d’urgence et a mis sa vie et celle de son bébé en danger. Elle a parlé de la pression qu’elle ressentait pour revenir rapidement, même lorsque son corps ne réagissait pas comme il le faisait autrefois.
Elle a également surmonté l’un de ses plus grands obstacles, laissant derrière elle son image privée bien cultivée pour devenir la porte-parole de quelque chose de beaucoup plus grand. Cette semaine, elle a donné la parole au sujet qui a filtré à travers les Jeux olympiques de Tokyo la pression de gagner.
« Quand je m’aligne pour une course, j’ai normalement peur », a-t-elle déclaré dans un essai sur les réseaux sociaux, publié quelques heures seulement avant la course de vendredi. « Je n’ai pas peur de perdre. Je perds beaucoup plus que je gagne. C’est la vie et je pense que c’est comme ça que c’est censé être.
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