@Home review – Didy Veldman explore où se trouve le cœur

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@Home d’idy Veldman s’est développé autour de l’idée d’être « chez soi », mais de le considérer comme une danse À propos cette idée serait une erreur : la chorégraphie est trop belle pour ça. La danse a sa propre source de sens. Certes, la scène est aménagée avec des chaises, une table, un matelas, une plante en pot, et la section d’ouverture voit les cinq danseurs séparés dans leurs propres espaces dans des carrés de lumière. Mais c’est la forme et la texture du mouvement – ​​les interprètes se tendent et se replient sur eux-mêmes, chacun étant une bande de mouvement de Möbius isolée – qui donne à la scène sa qualité ; pas l’idée de la maison.

Dimensions parallèles … @Home. Photographie : Foteini Christofilopoulou

Gardez cela à l’esprit et le travail rapporte de nombreuses récompenses. Au début, il y a un duo merveilleusement détaillé pour Theo Arran et Oliver Chapman. Malgré leurs membres imbriqués, leurs moments de saisie et de glissement, la chorégraphie les place dans des dimensions parallèles, de sorte qu’ils ne semblent présents l’un à l’autre que comme des fantômes.

De nombreuses scènes développent ce sentiment de personnes habitant un espace commun tout en occupant des mondes différents et, ce faisant, produisent une chorégraphie fluide et magnifiquement inventive. Hannah Ekholm et Nicholas Tredrea se cherchent constamment, mais s’échappent, même leur échange intime, quoique presque accidentel, de vêtements (il finit par porter sa robe, elle son gilet) ne les laissant toujours que d’un coup d’œil connectés. Chapman continue de s’effondrer, inconscient de Melody Tamiz brisant ses chutes avec un matelas, et inconscient à la fois de la tendresse et de la désolation de son étreinte d’adieu. Pendant ce temps, les numéros d’ensemble autour d’une table ou contre un mur ressemblent à des puzzles instables, les interprètes se transformant et se déplaçant constamment avant de pouvoir s’intégrer dans un semblant d’image stable.

La partition de Sabio Janiak s’efface parfois un peu ; ça marche mieux quand c’est un peu irrégulier. Mais les moments les plus faibles sont ceux basés sur la parole : un bavardage d’agent immobilier sur la location d’appartements, une réflexion sur l’identité personnelle et culturelle. Les actions de Veldman sont plus éloquentes, plus fascinantes que ses paroles, et sa force – encouragée par des danseurs qualifiés et très observables – semble résider dans la composition des relations humaines plutôt que dans leur mise en scène. Pour un chorégraphe, c’est une grande qualité.

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