Les prix du pétrole sont stables ; le brut devrait connaître la plus forte baisse hebdomadaire en environ 2 ans

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Les prix du brut ont légèrement augmenté vendredi, dans la foulée de fortes pertes entraînées par l’annonce de la plus grande libération jamais réalisée des réserves de brut américaines. Le pétrole faisait face à sa plus grosse perte hebdomadaire depuis les premiers jours de la pandémie.

Action de prix
  • brut West Texas Intermediate pour livraison en mai CL00,
    -0,17%

    CL.1,
    -0,17%

    CLK22,
    -0,17%
    a glissé de 25 cents, ou 0,2 %, à 100,01 $ le baril. Les prix ont chuté de 7% jeudi pour s’établir à 100,28 dollars le baril sur le New York Mercantile Exchange, le plus bas depuis le 16 mars, selon Dow Jones Market Data. Les prix du premier mois ont clôturé le premier trimestre avec un gain de 33 % et une hausse de 4,8 % en mars.

  • Juin Brent brut BRN00,
    +0,11%

    BRNK22,
    -5,43%,
    la référence mondiale, a augmenté de 24 cents, ou 0,2 %, à 104,93 $ le baril. Le contrat a chuté de 4,9% à 107,91 dollars le baril sur ICE Futures Europe jeudi. Le Brent expirant en mai a augmenté de près de 6,9 ​​% pour le mois et de 39 % pour le trimestre.

  • Mai gaz naturel NGK22,
    -0.85%
    a chuté de 0,8 % à 5,596 $ par million d’unités thermiques britanniques, et a connu une hausse de plus de 28 % en mars et une hausse trimestrielle de plus de 51 %.

  • avril essence RBJ22,
    -4,16%
    a augmenté de 1 % à 3,12 $ le gallon, après avoir chuté de 4,1 % jeudi. Juin mazout HOM22,
    +0,11%
    a augmenté de 0,8 % pour atteindre 3,229 $ le gallon.

Facteurs de marché

Les marchés se consolidaient après la vente de jeudi, déclenchée par le président Joe Biden autorisant la libération de 1 million de barils de pétrole par jour pour les six prochains mois à partir de la réserve stratégique américaine de pétrole.

Les analystes ont déclaré que cette décision pourrait limiter les prix à court terme, mais les analystes ne la considèrent que comme une solution temporaire aux tensions sur l’offre mondiale, d’autant plus que la guerre en Ukraine se poursuit.

Lire: Ce que la décision historique de Biden de libérer des réserves de pétrole signifie pour le marché

L’Agence internationale de l’énergie devait tenir une réunion d’urgence vendredi pour discuter de la possibilité de libérer également des réserves stratégiques aux côtés des États-Unis, a rapporté Reuters.

Mais une semaine volatile devait laisser le brut américain – sur une base contractuelle continue – avec une baisse brutale de près de 12 %, ce qui marquerait la plus forte baisse hebdomadaire depuis une baisse de 32 % fin avril 2020, selon FactSet. Le brut Brent devrait connaître une baisse hebdomadaire de plus de 10 %, également la pire depuis avril 2020.

Les gros titres géopolitiques ont continué d’attirer l’attention vendredi après que la Russie a accusé les forces ukrainiennes d’avoir attaqué une installation pétrolière juste au nord de la frontière entre les deux pays. Des pourparlers de paix entre les deux parties par vidéoconférence alors que les combats sur le terrain se poursuivaient.

Guerre en Ukraine : Les pourparlers devraient reprendre entre les négociateurs alors que l’est de l’Ukraine se prépare à de nouvelles attaques russes

Jeudi a également vu une réunion de l’OPEP + qui a approuvé un plan préalablement convenu qui augmentera son objectif de production de 432 000 barils par jour en mai, a rapporté jeudi l’US Energy Information Administration que les approvisionnements nationaux en gaz naturel ont augmenté de 26 milliards de pieds cubes pour le semaine terminée le 25 mars.

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