100 jours de guerre en Ukraine – podcast

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Le 24 février, le président russe Vladimir Poutine a annoncé une « opération militaire spéciale » visant à la « démilitarisation et à la dénazification » de l’Ukraine. C’était la fin de trois décennies de paix entre les grandes puissances européennes.

Au cours des 100 derniers jours, des milliers d’Ukrainiens ont perdu la vie et des millions ont fui leur pays dans la crise des réfugiés qui connaît la croissance la plus rapide en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui dans l’hôte Focus Michel Safi parle à Vlodomor Ksienich et Kyrylo Demtchenkoqui du jour au lendemain est devenu l’un des milliers de jeunes Ukrainiens qui ont répondu à un appel pour protéger leur pays.

Michael s’entretient également avec le correspondant étranger du Guardian Emma Graham-Harrison, qui a fait des reportages sur le terrain tout au long de la guerre. Elle lui parle de la famille Chekhanovski, qui a passé des semaines piégée dans l’aciérie Azovstal de Marioupol et comment ils ont finalement réussi à sortir.

Quelques heures après que le commandement militaire ukrainien a annoncé qu’il ne défendait plus l’usine, et que les combattants restants ont été transportés vers un avenir incertain en Russie, les premiers ministres suédois et finlandais ont confirmé qu’ils soumettaient conjointement des candidatures pour devenir membres de l’OTAN. S’ils réussissent, la longueur de la frontière de l’Otan avec la Russie doublera du jour au lendemain.

Correspondant gardien Shaun Walker, qui a également été sur le terrain tout au long du conflit, raconte à Michael le territoire dont la Russie s’est emparée et où elle envisage de prendre ensuite. L’armée de Poutine a perdu des batailles et en a gagné d’autres, mais l’invasion imprudente du président russe est devenue une catastrophe stratégique. L’Ukraine est assiégée mais unie. C’est devenu le véritable « anti-Russie » que la guerre était censée éteindre.

Photographie : Alexander Ermochenko/Reuters

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