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EXCLUSIF: Un abattement fiscal historique de 45 millions de shekels (13 millions de dollars) pour les productions télévisuelles et cinématographiques israéliennes a été adopté au tout dernier moment avant la chute du gouvernement cette semaine.
Le remboursement, qui a été introduit pour la première fois à la fin de l’année dernière et s’applique pendant deux ans après l’approbation, fournira 30% du budget aux émissions ou films réalisés pour un investissement minimum de 500 000 shekels (145 000 $). Dans l’ensemble, il vaut 45 millions de shekels (13 millions de dollars) au cours des deux premières années.
Le financement peut être obtenu par l’intermédiaire d’une société de production israélienne et l’argent ne sera mis à disposition que pour les séries télévisées, les films et les documentaires.
L’industrie israélienne a donné au monde des drames acclamés par la critique, notamment Fauda et Shtisel et le secteur de la production souhaitait depuis longtemps un coup de pouce, similaire aux incitations dans des endroits comme le Royaume-Uni qui ont transformé la production locale.
Tzvika Goldman, PDG de l’Association des producteurs israéliens, a salué la législation, qui est arrivée « à la 90e minute avant la dispersion du Parlement israélien » et est le résultat de la collaboration de cinq ministères différents, a-t-il déclaré.
Cependant, l’effondrement du gouvernement, qui pourrait conduire à une cinquième élection israélienne en seulement trois ans et ouvrir la voie au retour de Benjamin Netanyahu, a bloqué la pression des producteurs israéliens pour plus de droits et de réglementation.
La date limite a révélé en avril que l’IPA avait travaillé sur une législation révolutionnaire qui aurait, entre autres, permis aux producteurs de conserver 50% des droits sur leurs programmes et forcé les streamers à commander une certaine quantité de contenu local conformément aux nations européennes telles que France. Netflix a ensuite mené une offensive de charme fin mai, avec le vice-président EMEA, responsable des séries originales, Larry Tanz, passant cinq jours dans le pays à parler aux talents, aux dirigeants et aux principaux bailleurs de fonds.
Cette législation devra désormais attendre la formation du nouveau gouvernement avant d’être réexaminée.
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