De The Grey Man à Promising Young Woman : les sept meilleurs films à voir à la télé cette semaine

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Choix de la semaine

L’homme gris

Après le naturalisme granuleux de Cherry avec Tom Holland, les piliers de Marvel Anthony et Joe Russo reviennent au genre d’action brillante et chargée de cascades qui les a mis sur la liste A. Ryan Gosling, stoïquement impassible, incarne l’agent des opérations noires de la CIA Six, ciblé par des assassins après avoir découvert un secret sur ses patrons. Chris Evans suit les Russo de Fin du jeu au jeu d’espionnage, arborant un tache des plus ridicules en tant que joyeux ennemi juré de Six, Lloyd. Le film peut ressembler aux films Bond en casting (Ana de Armas de Pas le temps de mourir co-stars) et en décors de brochures de voyage, mais il existe actuellement un vide sur le marché des espions espiègles – et le film laisse la possibilité d’un suite ouverte. Hors maintenant, Netflix


Route révolutionnaire

Canapé si bon… Kate Winslet et Leonardo DiCaprio dans Revolutionary Road. Photographie : BBC/Evamere/Neal Street Prods/Kobal/Shutterstock

Le duo titanesque Leonardo DiCaprio et Kate Winslet se sont réunis pour la première fois dans le film de Sam Mendes en 2008, mais ce drame noueux ne pouvait pas être plus éloigné de la romance évanouie de Jack et Rose. Basé sur le roman de Richard Yates de 1961 et se déroulant dans l’Amérique des années 50, il suit le jeune couple marié Frank et April alors qu’ils luttent pour négocier le « vide sans espoir » de la vie de banlieue de la classe moyenne. C’est une montre inconfortable mais captivante alors que leurs rêves pataugent derrière leur façade domestique enviable. Lundi 25 juillet, 23h15, BBC Two


Seulement vous

Attention à l'écart … Josh O'Connor et Laia Costa dans Only You.
Attention à l’écart … Josh O’Connor et Laia Costa dans Only You. Photographie : Curzon/Œil artificiel

Une rencontre mignonne dans un taxi du Nouvel An à Glasgow mène rapidement à une belle romance entre Elena (Laia Costa), 35 ans, et Jake, 26 ans, de Josh O’Connor. Mais ce film impliquant s’intéresse davantage à ce qui vient après, quand avoir un bébé met une pression énorme sur leur relation naissante. Le désir frustré d’Elena d’être mère et les inquiétudes concernant l’écart d’âge du couple l’envahissent et aliènent Jake. C’est un drame humain désordonné, superbement interprété dans ce qui est essentiellement un film à deux, tandis que le travail de caméra en gros plan donne aux événements une énergie agitée. Jeudi 28 juillet, 23h10, BBC One


Jeune femme prometteuse

Méchante fille… Carey Mulligan dans Promising Young Woman.
Méchante fille… Carey Mulligan dans Promising Young Woman. Photographie : AP

Un commentaire sombre sur le comportement masculin se cache sous l’emballage coloré de la comédie noire d’Emerald Fennell. Carey Mulligan oscille habilement entre l’apathie et l’antagonisme en tant qu’employée de café Cassie, qui passe son temps libre à piquer des hommes qui profitent des femmes ivres. Puis une rencontre ravive d’horribles souvenirs de l’école de médecine et l’occasion de se venger. C’est un film sombre avec des bords satiriques pointus, mais aussi un scintillement de lumière sous la forme de Ryan, l’intérêt amoureux de Bo Burnham. Samedi 23 juillet, 3h50, Sky Cinema Greats


Emma

Se tortiller avec ça… Anya Taylor-Joy et Bill Nighy dans Emma.
Se tortiller avec ça… Anya Taylor-Joy et Bill Nighy dans Emma. Photographie : Titre de travail / Allstar

L’héroïne bien intentionnée mais allègrement dominatrice de Jane Austen ressemble autant à un rite de passage pour les acteurs qu’Hamlet. Anya Taylor-Joy est la dernière à s’essayer à l’adaptation jolie comme une image d’Autumn de Wilde. Soulignant le caractère primitif et lié à la classe d’Emma – la présence omniprésente mais silencieuse de serviteurs et l’utilisation de chansons folkloriques élargissent l’orientation sociale de l’histoire – Taylor-Joy rend le voyage de l’entremetteuse vers l’humilité d’autant plus émouvant. Au milieu d’un excellent casting de soutien, Bill Nighy et Miranda Hart gèrent sans effort le côté comique du film. Dimanche 24 juillet, 20h, BBC One


L’ami américain

Le jeu de Ripley… Dennis Hopper dans The American Friend.
Le jeu de Ripley… Dennis Hopper dans The American Friend. Photographie: Road Movies / Allstar

Le réalisateur allemand Wim Wenders a apporté sa fascination pour les États-Unis et le cinéma américain dans cette version élégante de 1977 du roman noir Ripley’s Game de Patricia Highsmith, mais avec une ambiance d’art et d’essai européenne. Bruno Ganz incarne Jonathan, un encadreur de Hambourg en phase terminale, incité à devenir un assassin par le mystérieux faussaire d’art Tom Ripley (Dennis Hopper). Leur amitié transatlantique devient le point central du film, plus que les rebondissements de l’intrigue parfois déconcertante. Dimanche 24 juillet, 1h20, Film4


football Shaolin

Fever pitch… Stephen Chow dans le rôle de Mighty Steel Leg dans Shaolin Soccer.
Fever pitch… Stephen Chow dans le rôle de Mighty Steel Leg dans Shaolin Soccer. Photographie : Miramax/Allstar

Le cinéaste et acteur hongkongais Stephen Chow a attiré l’attention du monde entier pour la première fois avec cette comédie d’arts martiaux glorieusement idiote. Soucieux de promouvoir le shaolin kung fu, Sing – AKA Mighty Steel Leg – et son entraîneur « Golden Leg » Fung, utilisent leurs disciplines particulières pour créer une équipe de football de surhumains. Il rejoint ses compagnons de pratique, dont Iron Head, Light Weight et le gardien Lightning Hands, alors qu’ils affrontent Evil Team (la subtilité n’est pas sur le radar de Chow) dans un tournoi de cascades et de slapstick pratfalls. Vendredi 29 juillet, 06h00, 03h25, Sky Cinema Cult Classics

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