Niki: Nicole review – indé introspectif d’une artiste à la recherche de son son

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UNBien qu’elle n’ait que 23 ans, l’auteure-compositrice-interprète indonésienne Nicole Zefanya, alias Niki, a déjà expérimenté plusieurs itérations de son son. Son premier EP de 2018, Zéphyr, échangé sur le R&B chargé de basses et de crochets illustré par SZA et Jhené Aiko, tandis que son album de 2020, Luneenfant, déplacé vers la synth-pop atmosphérique. Son deuxième album, Nicole, au premier plan grattant doucement des guitares pour 12 titres indé introspectifs.

Là où la voix de Zefanya présentait un son soul plus solide, Nicolas la retrouve dépouillée d’un fausset plus délicat, presque parlé. C’est un choix qui fonctionne bien pour emballer dans les lignes de son matériel de narration, du récit d’une romance à longue distance (Before), à ​​un flirt au lycée (High School à Jakarta) et un amour perdu (Oceans & Engines). Un arc familier est tracé – l’amour trouvé, combattu et enlevé – tandis que Zefanya livre chaque chanson dans un style confessionnel tout aussi familier, passant de mélodies légères à des crescendos d’émotions bouillonnantes.

L’effet global joue comme un pastiche de Phoebe Bridgers, mais sans les nuances plus sombres du Californien. Bien qu’une écoute satisfaisante, Nicolas ne parvient toujours pas à présenter à Zefanya un son distinct. Peut-être que les futurs disques la verront s’installer sur un.

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