La Tunisie soumet le titre de Toronto « Under The Fig Trees » à la course internationale aux Oscars, Luxbox dévoile ses offres

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EXCLUSIF: La Tunisie a soumis le bucolique conte d’initiation d’Erige Sehiri Sous les figuiers, sur un groupe d’adolescents travaillant comme cueilleurs de figues pendant l’été, comme sa candidature pour l’Oscar du meilleur film international.

La nouvelle de la sélection est arrivée avant la première nord-américaine du long métrage dans le cadre du programme Contemporary World Cinema de Toronto, vendredi.

L’œuvre a été créée à l’origine à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes en mai et a depuis joué dans de nombreux festivals, dont Karlovy Vary, Melbourne et Sarajevo.

La société de vente basée à Paris Luxbox a dévoilé une série de nouvelles offres pour coïncider avec l’annonce des Oscars.

Les nouvelles ventes incluent le Benelux (Libération), le Portugal (Nitrato), l’Espagne (Atalante), la Turquie (Bir Film) et l’Europe de l’Est (HBO), s’ajoutant aux accords précédemment annoncés en France (Jour2Fête) et au Moyen-Orient (Mad Solutions)>

Le film marque le premier long métrage de fiction de Sehiri après un certain nombre de documentaires de moyenne et longue durée primés, dont l’œuvre de 2018 Cheminots, sur les conducteurs de train qui risquent leur vie pour maintenir à flot le réseau ferroviaire tunisien en ruine.

Sehiri, qui a accompagné Sous les figuiers au TIFF, a grandi en France et est retournée dans la Tunisie natale de ses parents après le soulèvement populaire de 2011.

Travaillant d’abord comme journaliste couvrant l’après-révolution, elle y a poursuivi sa carrière en tant que productrice et cinéaste, travaillant sous la bannière de sa société basée à La Marsa, Henia Production.

Elle est chaude Sous les figuiers style guérilla au cours de l’été 2020 avec en toile de fond le village natal de son père, Kesra, un village berbère du nord-ouest de la Tunisie, réputé pour ses combats.

S’inspirant du dialogue léger du romancier français du XVIIIe siècle Pierre de Marivaux, le film capture la société tunisienne contemporaine et les relations entre hommes et femmes, à travers le bavardage des filles, au travail ou en pause.

Le film est produit par Sehiri, sous la bannière de sa bannière Henia Production, avec Didar Domehri chez Maneki Films, qui est également coproducteur sur un deuxième titre TIFF, Godland.

Palmyre Badinier, Nicolas Wadimoff et Philippe Coeytaux chez Akka films) Roshi Behesht Nedjad chez In Good Company prennent les crédits de coproduction.

La Tunisie a atteint la phase de nomination dans la course aux Oscars 2019/20 avec Kaouther Ben Hania L’homme qui a volé sa peau.


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