Blonde à Harriet : les sept meilleurs films à voir à la télé cette semaine

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Choix de la semaine

Blond

Une visite de près de trois heures dans l’équivalent cinématographique du canapé du psychanalyste, le biopic d’Andrew Dominik sur Norma Jeane Baker, alias Marilyn Monroe, est à la traîne de la controverse. C’est un regard explicite, parfois brutal, sur la création et l’exploitation d’une icône du cinéma, et le terrible coût personnel qu’elle a payé dans le processus. Adapté du roman volumineux de Joyce Carol Oates, le film parcourt avec style la vie de Monroe, reliant les points qui ont conduit à la tragédie. Ana de Armas joue Monroe avec un engagement envers les extrêmes émotionnels et un haut degré de précision, tandis qu’Adrien Brody et Bobby Cannavale jouent le rôle de ses maris Arthur Miller et Joe DiMaggio.
Mercredi 28 septembre, Netflix


Flic de Beverly Hills

Wisecracking… Eddie Murphy dans le rôle d’Axel Foley dans Beverly Hills Cop. Photographie : Paramount/Allstar

Ce thriller comique de 1984 était le premier rôle principal solo d’Eddie Murphy, et quelle explosion c’est. Son détective de la police de Detroit, Axel Foley, a l’intelligence de la rue et les astuces que nous attendons de Murphy après 48 heures et Trading Places. Mais le complot du poisson hors de l’eau – Foley vient à LA chic en dehors des heures d’horloge pour enquêter sur le meurtre d’un ami, en faisant appel à deux flics locaux (le juge Reinhold et John Ashton) pour l’aider – lui donne la chance de semer le chaos en divertissant de nouveaux façons. Les deux suites se suivent juste après.
Samedi 24 septembre, 6h, 20h, Sky Cinema Greats


L’infraction

Son sombre matériel… Sean Connery en tant que sergent-détective Johnson dans The Offence.
Son matériau sombre … Sean Connery en tant que sergent-détective Johnson dans The Offence. Photographie: United Artists / Allstar

Dans un rôle aussi éloigné que possible de l’insouciance de James Bond face à la violence, Sean Connery excelle en tant que policier dont la chasse à un pédophile le fait basculer. Le drame noirâtre de Sidney Lumet de 1973 se déroule dans une Grande-Bretagne humide et grise où le traumatisme des affaires passées entraîne DS Johnson (Connery) dans d’intenses confrontations avec sa femme, son patron et le principal suspect (Ian Bannen). Ce dernier fait ressortir des indices troublants des propres désirs réprimés de Johnson, aiguisés par la partition aliénante et atonale de Harrison Birtwistle.
Samedi 24 septembre, 23h, Talking Pictures TV


Le dernier homme noir de San Francisco

Esprit libre… Jonathan Majors dans The Last Black Man à San Francisco.
Esprit libre… Jonathan Majors dans The Last Black Man à San Francisco. Photographie : Landmark Media/Alamy

Les questions sur la façon dont vous définissez la maison et l’appartenance imprègnent le drame décalé de Joe Talbot. Il est en partie basé sur la vie de son ami Jimmie Fails, qui joue une version de lui-même en tant qu’esprit sans racine. Il vit avec son meilleur ami, le futur dramaturge Mont (Jonathan Majors), mais est attiré par la belle et grande maison construite en 1946 par son grand-père – bien qu’elle se trouve maintenant dans un quartier blanc recherché. En l’absence de ses parents négligents, Jimmie déverse son amour dans l’immeuble, au point d’y squatter lorsqu’il devient vacant.
Dimanche 25 décembre, 13h, BBC Two


Le cadeau

Rebecca Hall, Jason Bateman et Joel Edgerton dans The Gift.
Troisième roue … Rebecca Hall, Jason Bateman et Joel Edgerton dans The Gift. Photo : Matt Kennedy/Universal Pictures/Allstar

L’acteur Joel Edgerton s’est montré doué pour l’écriture et la réalisation avec ce thriller psychologique de 2015. Il joue Gordo, qui se fraye un chemin dans la vie d’un homme alpha contemporain à succès de la vieille école, Simon (Jason Bateman), et de sa femme, Robyn (Rebecca Hall), après leur déménagement à Los Angeles. Avec l’intérêt de l’excentrique Gordo pour eux à la limite de l’intrusif, sinon pathologique, Simon est déterminé à le tenir à l’écart, dans un film qui nous taquine intelligemment avec l’évidence avant de se faufiler dans des avenues plus intéressantes.
Mardi 27 septembre, 21h, Super ! Films


Harriet

Cynthia Erivo dans Harriet.
Se battre pour la liberté… Cynthia Erivo dans Harriet. Photo : Focus Features/Allstar

Il est remarquable qu’il ait fallu jusqu’en 2019 pour que la vie de l’abolitionniste américaine du XIXe siècle Harriet Tubman soit filmée, car elle en a suffisamment emballé pour plusieurs. La réalisatrice Kasi Lemmons et la star Cynthia Erivo font un excellent travail en racontant son histoire – de son évasion de l’esclavage dans le Maryland à la liberté à Philadelphie en passant par l’adhésion au «chemin de fer clandestin», qui a sauvé beaucoup, beaucoup d’autres, y compris sa propre famille. Erivo est une force de la nature en tant que Tubman, dont les ajustements visionnaires (le film se trompe du côté de Dieu plutôt qu’en raison d’une blessure à la tête) inspirent sa mission.
Mercredi 28 septembre, 22h40, BBC One


Daphné

Naviguer dans la vie… Emily Beecham dans Daphne.
Naviguer dans la vie… Emily Beecham dans Daphne. Photo : Altitude Film Entertainment/Allstar

Une performance agile d’Emily Beecham est au cœur du drame de la grande ville de Peter Mackie Burns. Son personnage titulaire de 31 ans dérive dans la vie à Londres dans une série de rencontres occasionnelles, de soirées avec des sortes d’amis et de quarts de travail insatisfaisants dans une cuisine de restaurant. Son désir de forger sa propre voie – peut-être en tant que chef – semble trop faible pour agir, jusqu’à ce qu’elle soit témoin d’un incident violent et commence à trébucher. C’est un film d’impact cumulatif, avec Daphné de Beecham vraisemblablement en mer mais jamais de manière mélodramatique.
Jeudi 29 septembre, 2h du matin, Film4

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