Le tireur de Christchurch fait appel de ses condamnations et de sa peine à perpétuité sans libération conditionnelle

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Le suprémaciste blanc australien qui a assassiné 51 fidèles musulmans dans deux mosquées de Christchurch en 2019 a fait appel de ses condamnations et de sa peine de prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle.

Brenton Tarrant a plaidé coupable en mars 2020 à 51 chefs de meurtre, 40 chefs de tentative de meurtre et une accusation de terrorisme. Il a été la première personne en Nouvelle-Zélande, en vertu des lois actuelles, à être condamnée à la prison à vie sans avoir la possibilité de jamais marcher librement.

La cour d’appel de Nouvelle-Zélande a confirmé mardi au Guardian que Tarrant avait interjeté appel de ses condamnations et de sa peine. Le tribunal examinera d’abord si l’appel peut aller de l’avant parce qu’il a été déposé en dehors du délai prévu par la loi pour le faire.

L’Australien a déménagé en Nouvelle-Zélande en 2017 en vue de mener une attaque suprémaciste blanche. Il a planifié la fusillade de masse pendant des mois, effectué des reconnaissances dans les mosquées, distribué un manifeste exprimant ses opinions racistes avant d’ouvrir le feu et diffusé en direct une partie de l’assaut sur Facebook.

Il a d’abord déclaré qu’il défendrait les accusations portées contre lui, mais a changé son plaidoyer de culpabilité sur tous les chefs d’accusation un an après les attentats. Il ne s’est pas exprimé devant le tribunal lors de la condamnation pour ses crimes en août 2020.

L’avocat de Tarrant a été approché pour commenter.

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