Le drame iranien « A Tale of Shemroon » remporte le premier prix à Marrakech

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Le premier long métrage du réalisateur iranien Emad Aleebrahim-Dehkordi Une histoire de Shemroon a remporté samedi l’Étoile d’Or, le Grand Prix du Festival, au Festival international du film de Marrakech.

Le long métrage, qui faisait partie des 14 premiers et deuxièmes films en compétition dans la compétition principale du festival, a été présenté en première mondiale dans la section Nouveaux Réalisateurs de Saint-Sébastien plus tôt cette année.

Situé dans le Téhéran contemporain, le travail opportun tourne autour de deux frères vivant avec leur père invalide et encore sous le choc de la mort de leur mère.

Le frère aîné tombe sur un stratagème lucratif pour sortir de l’existence monotone de la famille, ce qui l’amène à entrer en contact avec la jeunesse dorée de la ville, mais les choses ne se passent pas comme prévu.

Le réalisateur italien oscarisé Paolo Sorrentino a présidé le jury cette année, rejoint par l’actrice britannique Vanessa Kirby, l’actrice allemande Diane Kruger, le réalisateur australien Justin Kurzel, la réalisatrice et actrice libanaise Nadine Labaki, la réalisatrice marocaine Laïla Marrakchi et l’acteur français Tahar Rahim.

Le Prix du Jury a été décerné ex æquo à la réalisatrice portugaise Cristèle Alves Meira Âme vivante et de la cinéaste marocaine Maryam Touzani Le caftan bleu. Les deux films sont des entrées aux Oscars cette année pour les pays respectifs des réalisateurs.

Le prix de la meilleure mise en scène a été décerné à la réalisatrice suisse Carmen Jacquier pour le drame Tonnerre situé dans un village de montagne isolé au début du 19ème siècle.

La meilleure actrice a été décernée à Choi Seung-Yoon pour son rôle dans Riceboy dort par le réalisateur canadien. Antoine Shim. Arswendy Bening Swara a remporté le prix du meilleur acteur pour sa performance dans un drame indonésien Autobiographie par Makboul Moubarak.

La 19e édition du Festival international du film de Marrakech a marqué son retour après une interruption de trois ans et deux éditions en raison de la pandémie.

Over the course of the 10-day event, more than 150,000 spectators attended 124 film screenings at the Marrakech Palais des Congrès, the Cinéma Le Colisée, on Place Jemaa El Fna and at the Musée Yves Saint Laurent.

20 000 autres personnes ont été accréditées et ont reçu des badges électroniques pour assister au festival, soit près du double du nombre d’accréditations enregistrées pour la 18e édition en 2019.

Par ailleurs, près de 5 000 enfants et adolescents ont assisté aux projections destinées au jeune public.

Comme lors des éditions précédentes, l’édition 2022 du Festival international du film de Marrakech a réservé une place particulière au cinéma marocain avec une programmation qui a mis à l’honneur une nouvelle génération de cinéastes dont les œuvres sont saluées par la critique tant au Maroc qu’à l’étranger.

Parmi les films locaux bénéficiant de projections animées, citons le premier long métrage de Yasmine Benkiran Reinesdeuxième film de Fyzal Boulifa Les damnés ne pleurent pas et Fragments du cielle premier long métrage d’Adnane Baraka.

Le festival a également rendu hommage à la réalisatrice, scénariste et productrice marocaine chevronnée Farida Benlyazid avec un hommage à sa carrière. Parmi les autres personnalités du cinéma qui ont reçu des prix de carrière, citons la méga-star indienne Ranveer Singh et l’actrice Tilda Swinton.

« Le cinéma nous montre qui nous sommes, dans notre grande diversité. Cela reflète nos désirs, nos échecs, nos triomphes et nos rêves », a déclaré Swinton dans son discours d’acceptation. « Vive le cinéma et vive la différence ! »


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