Charlie and the Chocolate Factory: The Musical review – une explosion de couleurs dans un monde rempli de bric-à-brac

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Jvoici quelque chose du conte de fées sur Charlie et la chocolaterie, ce qui en fait un plat familial festif idéal. Dans la nouvelle production de James Brining pour Leeds Playhouse, l’élément de la pauvreté à la richesse est mis en évidence, s’ouvrant sur un monde gris et rempli de bric-à-brac dans lequel Charlie est le seul éclat de couleur. Si un enfant mérite un billet d’or pour la célèbre chocolaterie de Willy Wonka, c’est bien ce jeune inventeur en herbe.

Le spectacle est un peu lent à démarrer, mais il y a beaucoup à aimer en cours de route. La liste des autres enfants qui décrochent les billets d’or est délicieusement grotesque, en contraste frappant avec la pauvre mais gentille famille Bucket. Il y a des performances particulièrement fortes de Michael D’Cruze en tant que grand-père Joe et Leonie Spilsbury qui joue deux mères très différentes: l’aimante Mme Bucket et une Mme Teavee harcelée et buveuse d’alcool. Gareth Snook vole plusieurs scènes en tant que Willy Wonka, réussissant à être enchanteur, étrange et sinistre à la fois.

Enchanteur, étrange et sinistre… à l’intérieur de l’usine. Photographie : Johan Persson

Le succès de toute adaptation du livre bien-aimé de Roald Dahl réside dans l’usine fantastique elle-même. Le palais de la confiserie de Willy Wonka est – comme le dit la chanson écrite pour la version cinématographique de 1971 – un monde de pure imagination. Mais le voyage du deuxième acte dans ce monde, rendu par les projections vidéo géantes de Simon Wainwright, semble étrangement plat. Comme Mike Teavee, notre attention est dominée par les écrans plutôt que captivée par la magie brute de la théâtralité.

Une partie de la joie de ce conte est l’accent mis sur la créativité et l’ingéniosité. Charlie aime fabriquer quelque chose à partir de rien, transformant des déchets en trésors. La production de Brining pourrait s’inspirer du livre de son protagoniste en s’appuyant moins sur la technologie et plus sur notre imagination commune.

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