J’ai souvent ce fantasme d’entrer dans un supermarché où les seuls produits disponibles à l’achat sont ceux qui sont bons pour nous. Imaginez les lacunes – pas de gâteaux, pas de chips, pas de sucreries, pas d’aliments transformés pleins d’additifs et de numéros E, pas de boissons gazeuses pleines de sucre ou d’additifs dangereux (Santé Canada recommande de limiter l’alcool à seulement 2 verres par semaine, le 18 janvier).
J’aime l’alcool, même si je profite aussi du mois de janvier sec. Je ne me souviens pas de la dernière fois qu’un médecin ou un dentiste m’a demandé combien d’unités de hamburgers, de chips ou de gâteaux je consomme normalement en une semaine.
Je fais de l’exercice régulièrement et je bois raisonnablement, avec plusieurs jours sans boisson par semaine. Je suis un homme de 72 ans assez fort et en forme qui, jusqu’à présent, n’a pas beaucoup dérangé notre NHS assiégé. Je n’aime pas qu’on me donne des avertissements sur la quantité à boire tout en estimant qu’on accorde trop peu d’attention à l’obésité et à la mauvaise alimentation dans notre société. Avons-nous vraiment celui-là?
David Robert
Exeter