2:22: A Ghost Story review – Les débuts de Cheryl dans le West End sont une nuit de frayeur tonitruante

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Sepuis son ouverture en 2021, l’histoire surnaturelle de Danny Robins, avec ses nombreux castings, récompenses et rebondissements du West End, est devenue une machine fantomatique bien huilée. Il devient également une rampe de lancement pour les chanteurs qui ont envie de fouler les planches. D’abord vint le mandat célébré de Lily Allen; maintenant Cheryl fait ses débuts dans l’éclat du West End. En tant que son propre moment X Factor, il est assez respectable pour un premier essai, s’il est franc: gros volume et colère soudaine et tonitruante.

En toute honnêteté, les autres sont tout aussi criants. Dans ce conte de maison hantée qui commence comme une comédie de mœurs, Cheryl joue de manière convaincante la nouvelle mère ébranlée Jenny, qui est celle qui croit que la maison qu’elle et son mari, Sam (Scott Karim), ont achetée est hantée. Leur amie Lauren (Louise Ford) est venue dîner avec son nouveau petit ami constructeur Ben (Jake Wood) – qui est Mellors pour sa Lady Chatterley – et les frayeurs du drame se déroulent au cours de cette nuit.

La production originale a augmenté le suspense tout en nous donnant des choses à rire, des snobismes de classe à la satire sozzlée. Mais celui-ci prend un ton différent. Toujours réalisé par Matthew Dunster, on se croirait dans une comédie noire, à la limite de la farce. C’est la mise en scène – éclairs de lumières rouges, musique d’ambiance effrayante, secousses sonores – qui nous fait sursauter au lieu du drame lui-même.

Comédie de mœurs… Scott Karim dans le rôle de Dan et Louise Ford dans le rôle de Lauren. Photographie : Helen Murray

Les acteurs parlent souvent d’une voix stridente, ce qui vide les scènes clés de leurs frayeurs. Ils ne frappent pas non plus tous les battements de ces peurs, juste à côté de leur timing, et l’effet est moins effrayant. Karim beugle dans le rôle de Sam, un rationaliste sarcastique, et nous souhaitons un peu plus de la supériorité plus calme et plus froide de Hadley Fraser, précédemment dans le rôle. L’animosité entre Sam et Ben n’est pas aussi puissante qu’elle pourrait l’être, et ils finissent par se lancer de fortes insultes comme des tartes à la boue. Wood, revenant en tant que Ben, est le maillon le plus fort de la pièce. Il joue son rôle, ce qui enlève la subtilité, mais il le fait fonctionner et est une grande présence brillante sur scène.

Le suspense finit par arriver et la torsion à la fin est si intelligente, même pour ceux qui savent ce qui s’en vient, qu’elle nous renvoie au début dans nos esprits. La production réussit finalement non pas à cause de sa comédie montée en puissance mais malgré elle. Il gagnera sûrement à nouveau le public : il a une valeur de divertissement et il y a des discussions intelligentes sur la gentrification qui apportent également de la profondeur à l’histoire des fantômes. Mais on sent ici qu’étant devenue une telle machine, elle risque de perdre son cœur.

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