Luther to Room : les sept meilleurs films à voir à la télé cette semaine

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Choix de la semaine

Luther: Le Soleil Déchu

Le détective de télévision maussade d’Idris Elba fait peau neuve dans le thriller noir expansif de Jamie Payne. Avec peu de temps pour les intrigues secondaires, le créateur de l’émission Neil Cross jette John Luther en prison, puis le fait rapidement sortir pour qu’il puisse poursuivre un tueur en série / cerveau criminel (joué joyeusement par Andy Serkis) en mode flic disgracié en fuite. Réunis avec sa vieille Volvo et son célèbre pardessus gris dans un Londres perpétuellement bruineux, Luther et sa police à l’ancienne se heurtent à l’expertise cybernétique de sa cible et au flair de Moriarty pour un coup de pied arrêté. Quelques belles scènes de type Bond montrent le plus gros budget, tandis que Cynthia Erivo joue le rôle de DCI sur leurs deux queues – et donne aussi bien qu’elle obtient.
Vendredi 10 mars, Netflix

Il n’y a pas de pays pour les vieillards

Quand le Coen devient dur… Pas de pays pour les vieillards. Photo : Paramount Vantage/Allstar

Le néo-western de Joel et Ethan Coen, adapté du roman de Cormac McCarthy, est subrepticement profond. Josh Brolin joue un soudeur du Texas qui tombe sur un sac d’argent provenant d’un trafic de drogue qui a mal tourné et décide de le garder. Cette erreur attire sur lui l’implacable courroux du tueur à gages de Javier Bardem, tandis que le vieux shérif fatigué de Tommy Lee Jones recolle les morceaux. Ce qui commence comme un thriller policier dérive vers une méditation sur la persistance de la violence en Amérique – et chez les hommes – du Far West aux cartels transfrontaliers d’aujourd’hui.
Samedi 4 mars, 20h, Sky Cinema Oscars

Clémence

Un film avec conviction… Clémence.
Un film avec conviction… Clémence. Photographie : TCD/Prod.DB/Alamy

L’affaire morale désordonnée du meurtre sanctionné par l’État est au centre de ce drame touchant de Chinonye Chukwu, réalisateur du récent biopic Till. Alfre Woodard est tour à tour fébrile et énervé dans le rôle de Bernardine, le directeur d’une prison américaine avec un couloir de la mort, qui tient à peu près à garder le cap malgré l’insomnie et un mariage périmé. Aldis Hodge est une présence intense en tant qu’Anthony, un tueur de flics condamné qui oscille entre l’espoir et le désespoir à l’approche de sa date d’exécution, tandis que l’avocat épuisé de Richard Schiff, Marty, montre comment la peine de mort affecte toutes les personnes concernées.
Dimanche 5 mars, 22h, BBC Two

Dans la chambre

Dans la chambre.
Bon sang… Dans la chambre. Photographie : Album/Alay

Avec le brillant Tár de Todd Field en lice pour six Oscars la semaine prochaine, il peut être utile de se rappeler que son drame de 2001 a obtenu cinq hochements de tête – et n’a rien gagné. Sissy Spacek et Tom Wilkinson jouent les parents de l’élève de Nick Stahl, qui a commencé une relation avec la femme séparée de Marisa Tomei et mère de deux enfants. Cependant, leurs inquiétudes quant à son avenir sont oubliées après la tragédie et le chagrin les conduit dans des directions inattendues. Un beau film qui fait écho aux histoires de Raymond Carver sur les gens ordinaires en marge.
Mardi 7 mars, 22h25, Sky Cinema Oscars

La plage

La plage.
Risque de trébuchement… La plage. Photo : AJ Pics/Alamy

Les rumeurs d’une île paradisiaque thaïlandaise secrète égarent Richard, le routard de Leonardo DiCaprio, dans la version effervescente de Danny Boyle du roman d’Alex Garland. Il y a beaucoup de panoramas époustouflants et de belles personnes ensoleillées – y compris le chef de la commune de Tilda Swinton – à apprécier, et une bande-son typiquement zeitgeisty pour faire la fête. L’inévitable chute de Richard en disgrâce – moins Lord of the Flies, plus I’m a Celebrity – est moins impressionnante, mais la maîtrise de Boyle dans son métier signifie que ce n’est jamais ennuyeux.
Mardi 7 mars, 22h40, BBC One

Amulette

Nonne la plus sage… Amulette.
Nonne la plus sage… Amulette. Photographie : TCD/Prod.DB/Alamy

Les débuts de Romola Garai en tant que scénariste-réalisatrice de longs métrages sont loin de ses rôles habituels dans les drames d’époque. C’est une horreur étrange dans laquelle Tomas (Alec Secareanu), un ancien soldat vivant dans les rues de Londres, est attiré par la religieuse d’Imelda Staunton pour qu’il reste avec Magda (Carla Juri) dans sa maison moisie et grinçante. Mais il y a aussi la vieille mère de Magda, enfermée dans le grenier… La menace décalée du film – des souvenirs fiévreux de Tomas de son passage à un poste de contrôle forestier au ragoût de viande servi par Magda – se manifeste de manière exquise dans un conte qui tord l’envie masculine de protéger les femmes vulnérables à des fins diaboliques.
Mercredi 8 mars, 23h10, Film4

Chambre

Droit au but… Chambre.
Droit au but… Chambre. Photo : AJ Pics/Alamy

L’acteur principal Brie Larson a remporté le seul Oscar de ce film en 2015 – et c’était bien mérité aussi. Mais les félicitations devraient également aller au réalisateur Lenny Abrahamson et à l’écrivain Emma Donoghue (adaptant son propre roman) pour avoir fait une histoire en grande partie située dans une petite pièce si dramatiquement épanouissante. Larson joue Joy – enlevée, enfermée et maltraitée par un homme, « Old Nick », pendant sept ans. Elle a maintenant un fils de cinq ans, Jack (le superbe Jacob Tremblay), qu’elle tente de soustraire à l’horreur de leur situation. Intime par nécessité, c’est un truc déchirant et claustrophobe.
Jeudi 9 mars, 00h10, Film4

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