Review: D&D: Honor Among Thieves est un digne hommage au RPG classique

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De tous les films dont la sortie est prévue ce printemps, Donjons et Dragons : l’honneur des voleurs était l’une de mes premières les plus attendues, uniquement grâce à ces bandes-annonces meurtrières. Le film ne déçoit pas. C’est une comédie/action/fantaisie fraîche, de bonne humeur, énergique et très divertissante, dotée d’une distribution stellaire et d’un noyau émotionnel solide qui rend un digne hommage au célèbre RPG qui l’a inspiré.

(Quelques spoilers ci-dessous, mais aucune révélation majeure.)

Honneur parmi les voleurs se déroule dans le très populaire cadre de campagne Forgotten Realms. La prémisse officielle du film est courte et douce : « Un voleur charmant et une bande d’aventuriers improbables entreprennent un braquage épique pour récupérer une relique perdue, mais les choses tournent dangereusement mal lorsqu’ils se heurtent aux mauvaises personnes. »

Ce charmant voleur est Elgin, un barde interprété par Chris Pine. Pour vaincre le mal qui s’est déchaîné dans le monde, il aura besoin de la force de Holga, une barbare (Michelle Rodriguez) ; le courage de Xenk (Rege-Jean Page), un paladin ; et la magie grâce à Simon le Sorcier (Justice Smith). Ensuite, il y a Doric (Sophia Lillis), un druide tieffelin qui peut se transformer en divers animaux (dont un féroce ours-hibou). Le casting met également en vedette Hugh Grant dans le rôle de Forge Fitzwilliam the Rogue, un ancien membre de la bande de voleurs d’Elgin qui est maintenant Lord of Neverwinter, et Daisy Head dans le rôle de son principal conseiller, Sofina, une magicienne rouge de Thay.

Daisy Head joue Sofina, une magicienne rouge de Thay qui convoite un certain artefact mystérieux.

J&D le jeu existe depuis des décennies et a construit une mythologie riche et complexe au cours de cette période, mais les réalisateurs Jonathan Goldstein et John Francis Daley, tous deux fans de longue date, voulaient que leur film soit accessible même à ceux qui ne connaissaient pas du tout le classique. RPG. Cela nécessite une certaine quantité d’exposition d’ouverture potentiellement gênante. Nous rencontrons donc d’abord Elgin et Holga en tant que prisonniers dans une forteresse glacée, prêts à être libérés sur parole. Cela donne à Elgin une chance de raconter sa trame de fond tragique dans l’espoir de gagner la sympathie de la commission des libérations conditionnelles et, ce n’est pas un hasard, de donner au public une introduction narrative amusante à ce monde fantastique. Il est difficile de réaliser de longues périodes de monologue explicatif sans tester la patience du public. Mais Pine le vend avec sa livraison effrontément irrévérencieuse.

Cette trame de fond implique le chagrin d’Elgin pour sa femme décédée et son choix de quitter sa fille Kira (Chloe Coleman) pour un dernier braquage, attiré par la promesse d’acquérir une tablette de résurrection qui pourrait ramener sa femme à la vie. Le braquage a mal tourné et Elgin et Holga ont été capturés, tandis que Simon et Forge se sont échappés avec Sofina, ainsi que la tablette de résurrection et un mystérieux artefact qui était clairement la cible de Sofina depuis le début. Elgin aspire à retourner auprès de sa fille, alors lui et Holga s’évadent de prison et trouvent Kira vivant à Neverwinter avec Forge, désormais riche et respectable (mais toujours espiègle). Naturellement, leur ancien compagnon d’armes les trahit, et le reste du film est leur quête pour sauver Kira et empêcher Sofina d’accomplir un ancien rituel qui transformerait les bons citoyens de Neverwinter en ses esclaves zombies.

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