La dirigeante de Hong Kong, Carrie Lam, déclare qu’elle ne briguera pas un second mandat

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La dirigeante de Hong Kong, Carrie Lam, qui a gouverné le centre financier mondial à travers le bouleversement sans précédent des manifestations anti-gouvernementales et de Covid-19, a déclaré qu’elle ne solliciterait pas un deuxième mandat de cinq ans.

L’annonce de Lam est intervenue alors que les médias ont déclaré que le secrétaire en chef John Lee, le deuxième plus haut responsable de Hong Kong, était sur le point de démissionner pour rejoindre la course pour remplacer Lam en mai et devenir le prochain dirigeant de la ville sous domination chinoise.

« Il n’y a qu’une considération et c’est la famille. J’ai déjà dit à tout le monde que la famille est ma première priorité en termes de considération. Ils pensent qu’il est temps pour moi de rentrer chez moi », a déclaré Lam lundi lors d’un point de presse régulier.

Lam, née à Hong Kong sous domination britannique en 1957 et fonctionnaire de longue date qui se décrit comme une fervente catholique, a pris ses fonctions en 2017 avec la promesse d’unir une ville qui ressentait de plus en plus le resserrement de l’emprise de Pékin.

Deux ans plus tard, des millions de personnes sont descendues dans la rue lors de manifestations antigouvernementales parfois violentes qui ont finalement conduit Pékin à imposer une loi radicale sur la sécurité nationale en juin 2020, lui donnant plus de pouvoir que jamais pour façonner la vie à Hong Kong.

Les dirigeants de la ville sont sélectionnés par un petit comité électoral composé de fidèles de Pékin, de sorte que celui qui deviendra le prochain dirigeant de l’ancienne colonie britannique le fera avec l’approbation tacite de Pékin.

Lee, 64 ans, un responsable de la sécurité lors des manifestations pro-démocratie prolongées et souvent violentes de 2019, a été promu en 2021 dans un mouvement qui, selon certains analystes, a signalé les priorités de Pékin pour la ville liées à la sécurité plutôt qu’aux finances ou à l’économie.
Lee n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

L’élection à la direction a été repoussée du 27 mars pour donner au gouvernement le temps de lutter contre une épidémie de Covid qui a infecté plus d’un million des 7,4 millions d’habitants de l’ancienne colonie britannique.

Depuis que Hong Kong est revenue à la domination chinoise en 1997, elle a eu quatre directeurs généraux, qui ont tous lutté pour équilibrer les aspirations démocratiques de certains résidents avec la vision des dirigeants du parti communiste chinois.

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