Onoda: critique de 10 000 nuits dans la jungle – une tragi-comédie captivante

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« Wc’est fini ! crient les habitants indignés de l’île lointaine de Lubang – mais le lieutenant Hiroo Onoda n’en veut pas, ne l’aura pas et est susceptible de tirer sur quiconque le signale. Le commando, apprend-on, a pour ordre strict de garder le théâtre du Pacifique ouvert et les forces américaines hors des Philippines, et peu importe le fait que le monde a depuis longtemps évolué et qu’il y a de la musique rock’n’roll sur son cristal sans fil. Positionner.

En cours de route, le réalisateur, Arthur Harari, prend l’histoire vraie épuisée du soldat japonais solitaire et la sculpte dans une tragi-comédie captivante, une étude perçante du fanatisme et de l’auto-illusion, ridicule et déchirante dans une mesure à peu près égale. Onoda (joué dans sa jeunesse par Yûya Endô ; plus tard par Kanji Tsuda) commence à commander une petite unité de camarades grunts. Harari les montre errant dans la jungle comme les garçons perdus de JM Barrie, courant parfois sur la plage pour effrayer les pêcheurs locaux. Mais, au fil des années, le nombre diminue jusqu’à ce qu’il ne reste finalement que le lieutenant solitaire, désespérément perdu dans les bois, jouant à son jeu désespéré de soldats après que tout le monde soit allé se coucher.

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